À l’heure où les couloirs hier délaissés deviennent des champs de bosses, où des hordes de citadins cherchent l’évasion en montagne… j’ai un peu tendance à fuir les pentes que je chérissais. Je préfère souvent un coin de bois tranquille et oublié à une vaste combe dessinée pour le ski. Ah l’appel de la forêt… sans doute est-ce une réminiscence de mon enfance, quand je dévorai les livres de James Oliver Curwood, de Jack London ou encore de Jean-Louis Foncine.
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